Présentation

«  Avoir l’audace d’aller là où il n’y a pas de chemin et y laisser sa trace »

Anonyme

 

 

Mamita est la grand-mère, la petite maman, celle qui nourrit la vie,  celle qui transmet l’émerveillement devant la Nature et l’amour de la Terre.

Mamita des Montagnes était la signature des premières lettres que j’adressais à mes petits enfants citadins pour leur donner des nouvelles de la vie dans mon Oasis : nouvelles des arbres, des poules, des grenouilles, le stade de mûrissement des fraises et l’odeur des premières confitures, le passage des renards et le nombre de branches de cerisiers emportées par la gourmandise des chevreuils.

Dans le Qi Gong des animaux, l’Ours est fort, joyeux. Sa puissance et son calme intérieur proviennent du rassemblement du bas du corps. Le haut est libre, le cœur léger et vide d’intention.
Mon instructeur nous invitait  à chercher notre “oursitude”.
Alors, j’ai cherché…et, peu à peu, pas à pas, Mamita des Montagnes est devenue …

La Grande Ourse blanche.
Solidement ancrée sur ses grosses pattes,
Bras ouverts,
Elle accueille la Vie
De ses yeux elle boit l’horizon
Sans tourner la tête, elle voit dans toutes les directions
A travers elle s’écoule la grande rivière du ciel
Jusque loin dans la terre.

 

 

 

 

Une vidéo pour découvrir l’univers de Mamita :
Transmission, Hélène Gadoury

 

Un livre, auto-biographique, pour découvrir la vie de Mamita

  « OSER : récit de vie »

 

 

Honorer la terre 

« Au fil du temps et des rencontres, Ljiljana est devenue une représentante de cette terre mère qui patiemment nous porte. A la façon des grands-mères qu’honorent les traditions amérindiennes, elle a accueilli les questions ou les inquiétudes de femmes en quête de repères ou de simples remèdes pour aller mieux, manger mieux, prendre soin d’elles-mêmes et des autres. Un partage d’expérience de mère à fille, de femme à femme dont la vie d’aujourd’hui a privé beaucoup. Qui disait l’importance pour les femmes jeunes d’être en lien inspirant avec des femmes plus âgées, bienveillantes et puissantes ? Il faudrait relire « Femmes qui courent avec les loups ».

Pascale Nobécourt